farce monsieur de Charnacé
Anecdotes

L’incroyable farce de M. de Charnacé

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Auteur : Antoine Demaules

1698, de cet épisode, nous ne savons que fort peu de choses. Mais il en était déjà bien assez pour que nous fussions parfaitement convaincus de sa cocasserie. En des temps tellement troublés par la Guerre de la Ligue d’Augsbourg, par la périlleuse succession d’Espagne, par les intrigues d’Hôtels et les disettes ; quand les chroniques de la Cour péroraient sur d’exquises fadaises et que les offices se suivaient… Quand, en somme, tout le monde Français de ce si Grand Siècle s’affairait à sa vie, un homme – et un seul – s’apprêtait à commettre une incroyable farce.

Un petit noble « accusé de fort méchantes choses » …

À mon grand déplaisir, je serais bien incapable de vous présenter plus en détails Monsieur de Charnacé

Au physique, nous ne savons guère plus de choses sur lui. La postérité ne connaît de lui que sa malice, voilà qui est sûrement bien assez, aussi.

« [Le roi] fit arrêter Charnacé en province où, déjà fort mécontent de sa conduite en Anjou où il était retiré chez lui, [le roi] l’avait relégué ailleurs, et de là [fait] conduire à Montauban, fort accusé de beaucoup de méchantes choses, surtout de fausse monnaie (…) », nous raconte le duc de Saint-Simon dans ses Mémoires.

duc de Saint-Simon
Portrait du duc de Saint-Simon (anonyme, XVIIIème siècle).

Or n’oublions pas qu’à l’époque – et a fortiori pour un homme de haute naissance – le vice d’argent compte parmi les plus infamants. L’affaire du comte de Horn1 en 1720, roué vif en place de Grève pour avoir assassiné Lacroix, un agioteur2 de la rue Quincampoix, en montre toute la force. Jamais l’on ne crut possible qu’un aristocrate connusse le supplice de la roue, tellement indigne. Même s’il n’eut pas à craindre la Justice, M. de Charnacé n’en prit pas moins le risque de trafiquer de fausses devises. Voilà un portrait moral fort peu convaincant !

Et le truculent duc de Saint-Simon de poursuivre : « C’était un garçon d’esprit qui avait été page du roi et officier dans ses gardes du corps, fort du monde, et puis retiré chez lui où il avait souvent fait bien des fredaines3, mais il avait toujours trouvé bonté et protection dans le roi. »

Comprenez ici que s’il n’avait pas ce grain de malice, il est très probable que M. de Charnacé eût été traité différemment par Louis XIV. Charnacé servit le roi avec beaucoup de zèle par ailleurs.

Retiré, de force, chez lui en Anjou, les journées paraissaient si longues à Charnacé. Exilé dans une demeure qu’il ne voyait que comme une piteuse geôle, rien ne trouvait grâce à son cœur. Tout l’irritait et il lui fallait trouver, au plus tôt, une occupation des plus grisantes. Lui, dont la famille s’était illustrée dans l’artillerie royale ne trouvait plus que pour seule canonnade, le fracas des gouttes de pluie contre son carreau. Et vous, qui commencez à cerner notre personnage, vous comprendrez aisément qu’il ne mit que peu de temps à trouver une intrigue digne de sa pitrerie.

Son incroyable farce

Ignorant parfaitement l’histoire de ce M. de Charnacé jusqu’à ma lecture des Mémoires de Saint-Simon, je crois pouvoir dire que rien ne me fera oublier un tel récit. Je suis convaincu qu’il en sera de même pour les plus espiègles d’entre vous. Entre toutes les histoires de Cour tellement dithyrambiques et les époustouflants témoignages de guerre ou de haute politique, le duc de Saint-Simon nous raconte en détails la farce de Charnacé. Vous comprendrez mieux – j’en suis sûr – une fois l’histoire connue, mais je ne peux me résoudre à croire que la présence de cette anecdote dans les Mémoires est fortuite.

Jamais le duc ne s’est montré avare de subtilité et de malice. Il portait toujours un jugement arrêté et pas un mot de sa flamboyante plume n’est le fruit du hasard. Tant de conflits opposèrent noblesse et roture et cette farce n’y changea rien.

Assez parlé et imaginez maintenant les paysages verdoyants et humides de l’Anjou. Imaginez cette grande bâtisse, élégante et lourde, dont chaque pierre semble avoir longuement poussé de la terre. Là, dans cet écrin de solitude, le trop tristement disgracié M. de Charnacé n’avait que trop de temps pour se morfondre.

Un écrin de solitude, dis-je ? Pas vraiment :

« [M. de Charnacé] avait une très-longue et parfaitement belle avenue devant sa maison en Anjou, dans laquelle était placée une maison de paysan et son petit jardin qui s’y était apparemment trouvée lorsqu’elle fut plantée, et que jamais Charnacé ni son père n’avaient pu réduire ce paysan à la leur vendre, quelque avantage qu’ils lui en eussent offert, et c’est une opiniâtreté dont quantité de petits propriétaires se piquent, pour faire enrager des gens à la convenance et quelquefois à la nécessité desquels ils sont. Charnacé ne sachant plus qu’y faire avait laissé cela là depuis fort longtemps sans en plus parler. »

Ressentez-vous comme moi l’inavouable sourire du duc de Saint-Simon prêt à vous en dire davantage ?

Quand le déplaisir de la disgrâce se trouve mêlé à l’incommodité de la vue
Laissons, si vous le voulez bien, le duc nous conter la suite :

« Enfin, fatigué de cette chaumine qui lui bouchait tout l’agrément de son avenue, il imagina un tour de passe-passe … »

Voilà, mes amis, qui n’est pas trop tôt !

« Le paysan qui y demeurait, et à qui elle appartenait, était tailleur de son métier quand il trouvait à l’exercer, et il était chez lui tout seul, sans femme ni enfants. Charnacé l’envoie chercher, lui dit qu’il est mandé à la cour pour un emploi de conséquence, qu’il est pressé de s’y rendre, mais qu’il lui faut une livrée4. Ils font marché comptant ; mais Charnacé stipule qu’il ne veut point se fier à ses délais, et que, moyennant quelque chose de plus, il ne veut point qu’il sorte de chez lui que sa livrée ne soit faite, et qu’il le couchera, le nourrira et le payera avant de le renvoyer. Le tailleur s’y accorde et se met à travailler. »

atelier couture Quirijn van Brekelenkam
L’atelier de couture par Quirijn van Brekelenkam (vers 1661).

Ainsi fort bien accueilli, logé et nourri chez M. de Charnacé, l’artisan se mit à faire l’œuvre pour laquelle il sembla – étonnamment – bien payé. Une si vaste demeure offrait au tailleur un espace idéal pour établir ses outils et ses étoffes. Charnacé dut sûrement lui réserver une pièce spacieuse, mais surtout, il prit un soin tout particulier à ce que cette pièce où l’artisan travaillait ne donnât pas sur l’avenue.

Vous allez comprendre.

« Pendant qu’il y est occupé, Charnacé fait prendre avec la dernière5 exactitude le plan et les dimensions de sa maison et de son jardin, des pièces de l’intérieur, jusque de la position des ustensiles et du petit meuble, fait démonter la maison et emporter tout ce qui y était, remonte la maison telle qu’elle était au juste dedans et dehors, à quatre portées de mousquet6, à côté de son avenue, replace tous les meubles et ustensiles dans la même position en laquelle on les avait trouvés, et rétablit le petit jardin de même, en même temps fait aplanir et nettoyer l’endroit de l’avenue où elle était, en sorte qu’il n’y parut pas. »

Vous n’en croyez pas vos yeux ? Quoi ! Est-ce seulement possible ? Riez-vous ou enragez-vous ?

Le pauvre artisan n’allait pas être au bout de ses peines :

« Tout cela fut exécuté encore plus tôt que la livrée faite, et cependant le tailleur doucement gardé à vue de peur de quelque indiscrétion. Enfin la besogne achevée de part et d’autre, Charnacé amuse son homme jusqu’à la nuit bien noire, le paye et le renvoie content. »

Si le pauvre tailleur bafoué est ivre, je crois bien que le plus grisé est M. de Charnacé ! Imaginez-le, scrutant dans l’obscurité, derrière sa fenêtre, l’homme ivre remontant péniblement l’avenue.
Comment ne pas – encore – céder la parole au duc de Saint-Simon pour la suite de ce récit !

« Le voilà qui enfile l’avenue. Bientôt il la trouve longue, après il va aux arbres et n’en trouve plus. Il s’aperçoit qu’il a passé le bout et revient à tâtons chercher les arbres. Il les suit à l’estime, puis croise et ne trouve point sa maison. Il ne comprend point cette aventure. La nuit se passe dans cet exercice, le jour arrive et devient bientôt assez clair pour aviser sa maison. Il ne voit rien, il se frotte les yeux, il cherche d’autres objets pour découvrir si c’est la faute de sa vue. Enfin il croit que le diable s’en mêle, et qu’il a emporté sa maison. À force d’aller, de venir, et de porter sa vue de tous côtés y il aperçoit, à une assez grande distance de l’avenue, une maison qui ressemble à la sienne comme deux gouttes d’eau. Il ne peut croire que cela soit ; mais la curiosité le fait aller où elle est, et où il n’a jamais vu de maison. Plus il approche, plus il reconnaît que c’est la sienne. Pour s’assurer mieux de ce qui lui tourne la tête, il présente sa clef, elle ouvre, il entre, il retrouve tout ce qu’il y avait laissé, et précisément dans la même place. Il est prêt à en pâmer7, et il demeure convaincu que c’est un tour de sorcier. »

Saint-Simon ne peut alors s’empêcher de songer à l’émoi de l’artisan et on l’imagine rire aux éclats, contraint de reposer sa plume pour laisser éclater sa raillerie. Seulement, si le pauvre savait. Il sut, peu de temps après.

« La journée ne fut pas bien avancée que la risée du château et du village l’instruisit de la vérité du sortilège, et le mit en furie. », relève Saint-Simon.

Si Charnacé se voulut plus discret après ça, le tailleur se sentit grandement humilié par cette affaire, ou plutôt par ce qu’il voulait ériger comme une affaire !

« Il veut plaider ; il veut demander justice à l’intendant ; et partout on s’en moque. ». Voilà bien un passage qui méritera que l’on s’y attarde plus tard …

Et voici maintenant la chute de l’histoire, probablement tout aussi cruelle pour le pauvre homme que pour Charnacé : « Le roi le sut qui en rit aussi, et Charnacé eut son avenue libre. S’il n’avait jamais fait pis il aurait conservé sa réputation et sa liberté. ».

En peu de temps donc, M. de Charnacé s’arrangea pour abriter un pauvre homme dont la maison gênait la vue de sa superbe bâtisse. Il lui offrit tant d’argent, de mets et de confort pour qu’il s’affairât au plus vite. En une nuit, le malicieux noble fit démonter puis remonter – au clou près – ladite maison, huit-cents mètres plus loin. Et dire qu’il prit même le soin de refermer la porte derrière lui. Alors ! N’est-ce pas là une farce ?

Derrière la farce se cache un curieux témoignage des rapports sociaux sous l’Ancien Régime

Il y aura à ce moment de la lecture tant de postures : ceux qui ont ri, ceux qui restent interdits, ceux qui relisent inlassablement la farce et ceux qui sont déjà partis – ne les espérons pas trop nombreux ! –.

Mais une fois la surprise ou l’hilarité passées, ce récit soulève au fond trois grandes questions sur les rapports entre les gens de ce temps.

Un aristocrate pouvait-il aussi facilement échanger avec un roturier ?

Alors quid des bonnes mœurs et de la bienséance ? Tant de coutumes et ces rites que Beaumarchais a fustigés – non sans panache – presqu’un siècle après. Souvenez-vous donc du monologue de Figaro :

« Parce que vous êtes un grand seigneur, vous vous croyez un grand génie ! noblesse, fortune, un rang, des places, tout cela rend si fier ! Qu’avez-vous fait pour tant de biens ? vous vous êtes donné la peine de naître, et rien de plus : du reste, homme assez ordinaire ! tandis que moi, morbleu, perdu dans la foule obscure, il m’a fallu déployer plus de science et de calculs pour subsister seulement, qu’on n’en a mis depuis cent ans à gouverner toutes les Espagnes ; et vous voulez jouter ! »8

De ce monologue ressort une forte appréciation des rapports sociaux sous l’Ancien Régime. Bien qu’important dans l’élévation d’un individu, le savoir ne saurait ni suffire, ni prévaloir. Seule la naissance prévalait et gloire à qui bien-né se trouvait aussi bien fait d’esprit !

Pourtant, ce ne serait que mensonge de croire à un mépris généralisé de l’aristocratie envers le « commun ». L’approche de M. de Charnacé auprès du tailleur en est le parfait exemple. Son abord est au contraire des plus directs, pour ne pas dire des plus simples. Et les exemples de déférence mutuelle se suivent. Il s’est dit – et je le crois vrai – que Louis XIV saluait très aimablement les petites mains du Château de Versailles. N’oublions pas également que la duchesse du Maine fit de sa lectrice, Rose Delaunay, l’une de ses plus importantes confidentes. Enfin, le destin de la petite Ernestine Lambriquet ne fit pas exception non plus. Fille d’un couple de valets du Château de Versailles, elle fut adoptée par Louis XVI et Marie-Antoinette et élevée comme les Enfants de France9.

Vous l’aurez compris, il existait bien une forme de déférence réelle entre les différentes couches sociales de ces époques. Une harmonie régnait pourvu, bien sûr, que chacun demeure à sa place. Il n’est évidemment pas question d’enjoliver le portrait du passé ! Alors oui, les échanges entre M. de Charnacé et le tailleur n’ont rien de surprenant.

Puisque cette chaumine faisait manifestement ombrage à l’avenue depuis longtemps, pourquoi les ancêtres de M. de Charnacé n’ont-ils pas réussi à déloger ce tailleur ?

Aucune réponse précise n’est apportée ni par le duc de Saint-Simon, ni par l’histoire. Mais je crois aussi qu’il faut – encore – aller la chercher dans les valeurs de l’époque. Il serait alors question d’honneur et probablement de justice. Oui, déjà !

Quand l’on y songe, cela n’a rien d’étonnant. Rappelez-vous de la chute racontée par Saint-Simon. Le tailleur n’entend-il pas « plaider » sa mésaventure ? Mieux encore, Saint-Simon écrit : « Il veut demander justice à l’intendant ».

Ce tailleur est animé par un esprit de justice. Probablement n’a-t-il reçu qu’une sommaire instruction ; tout au plus était-il lettré, ce qui n’est d’ailleurs pas sûr. Mais quoi qu’il en soit, malgré la pauvreté présumée de son éducation, il savait que d’une certaine façon, justice pouvait lui être rendue. À aucun moment, cela ne lui parut dérisoire. Il n’est d’ailleurs pas impossible que s’il eût réellement porté l’affaire devant l’intendant de la Généralité de Tours, Thomas Hue de Miromesnil, ce dernier tranchât en sa faveur ; moyennant que M. de Charnacé versât au tailleur quelques sous de plus.

Sous l’Ancien Régime, les intendants représentaient directement le roi dans les Généra lités, des territoires plus ou moins délimités10. À bien des égards, ils étaient les ancêtres de nos préfets11. En plus de cela, les intendants revêtaient également des fonctions judiciaires. Fait exceptionnel pour ces époques, leur justice était gratuite, plutôt rapide et souvent soucieuse d’arbitrer au mieux les intérêts des parties.

Voilà sûrement de quoi freiner quelque ardeur à vouloir déplacer manu militari une maisonnette posée près d’une avenue.

Enfin, cette farce ne cacherait-elle pas une certaine considération de la part d’un aristocrate quelque peu oisif envers un artisan visiblement doué ?

J’admets certainement qu’il y a ici matière à extrapoler et à se livrer à de nombreux débats. Mais je ne peux me résoudre à en penser autre chose. Ce n’est jamais là que mon avis. Un homme pétri d’irrévérence se serait-il donné autant de « peine » à faire déplacer toute une maison, remettant chaque chose à sa juste place, replantant les fleurs et fermant la porte à clef derrière lui ? Et pendant ce temps, il ne faudrait pas oublier que l’artisan travaille avec rigueur chez M. de Charnacé, déployant tout son art pour lui confectionner une livrée dont le besoin, comme cet habit, est inventé de toute pièce ! Et pour cela, Saint-Simon nous rappelle l’honorable prix qu’en reçut l’artisan. L’histoire ne nous dit pas ce qu’est devenue cette livrée… dommage !

Par la narration ou la recherche, bien des récits d’histoire doivent être transmis à la postérité. La farce de M. de Charnacé en est un, notamment pour son insignifiance. N’avez-vous jamais ressenti une incroyable difficulté à vous représenter l’esprit des hommes de l’ancien temps ? Comment pensaient-ils ? Comment se comportaient-ils chaque jour entre eux ? Comment riaient-ils ? Avaient-ils seulement de l’humour ? Probablement oui, alors lequel ? Cette farce en est-elle l’étendard ? Ô assurément, non. Mais elle en est un témoignage.

Falstaff souriant Edouard von Grützner
Falstaff souriant par Edouard von Grützner (1921).

L’humour semble, à bien des égards, un impensé de l’histoire. Alors certes, il a traversé les siècles par les écrits de Molière ou des pamphlétistes, il figurait sur les gravures ou sur quelques bonnes œuvres ; mais quel humour académique !

Alors, longtemps je me suis demandé, comment riait-on, au « quotidien » sous l’Ancien Régime. Bien sûr, je ne crois pas qu’il puisse exister deux farces comme celle-ci, mais elle est empreinte de tellement de malice, d’ironie mais également de cynisme. Elle est aussi injuste que profondément humaine. Finalement, cette farce dit bien plus choses qu’il n’y paraît au premier regard.

Notre Auteur invité : Antoine Demaules

Antoine Demaules

Antoine Demaules, éternel curieux et touche-à-tout invétéré. Ma passion pour l’Histoire remonte à l’enfance … à des moments, des visites et des sons qui, ensemble, ont fait naître en moi cette envie de comprendre, encore et encore, qui nous a précédé.

C’est pourquoi j’aimerais vous emmener dans les arcanes de l’Histoire politique. Grâce à Carnet d’Histoire, je vous propose de découvrir avec moi les coulisses du pouvoir, les intrigues de Cour et les coups de maître de la politique au fil des siècles ! Pour le côté « CV », je suis en master de droit public à Sciences Po.

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1 Également orthographié « Hornes ».
2 Un spéculateur du système de monnaie fiduciaire introduite par John Law entre 1716 et 1720.
3 Comprenez : des frasques, des farces !
4 Ancêtre de nos uniformes.
5 Comprenez : la meilleure exactitude.
6 Environ 800 mètres.
7 Tomber en pâmoison, être ahuri.
8 Beaumarchais, La Folle Journée ou Le Mariage de Figaro, Acte V, scène 3, 1778-1784.
9 Louis XVI et Marie-Antoinette adoptèrent ainsi quatre enfants, souvent issus d’une très modeste extraction.
10 L’Intendant de Bourges entre 1764 et 1776, Nicolas Dupré de Saint-Maur admettait par exemple « ne pas connaître les frontières exactes de [sa] généralité ».
11 Catherine Lecomte, « De l’intendant au préfet : rupture ou continuité ? » in La Loi du 28 pluviôse an VIII, 2000.

Sources et bibliographie :

– Beaumarchais, La Folle Journée ou Le Mariage de Figaro, 1778-1784.
– Catherine Lecomte, « De l’intendant au préfet : rupture ou continuité ? » in La Loi du 28 pluviôse an VIII, 2000.
– Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon, Mémoires.