Palais Galliera
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Le palais Galliera : Un palais pour la capitale de la mode

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La semaine dernière se déroulait la Fashion Week 2023. À cette occasion nous avons souhaité vous présenter le Palais Galliera. Quel est le rapport pourriez-vous dire ? Et bien ce bâtiment abrite aujourd’hui un musée particulier, celui de la mode. Mais ce qui est encore plus incroyable c’est son histoire, car ce musée maintenant bien connu des férues de bon goût, strass et paillettes, a failli ne jamais voir le jour. Alors vous est prêt à en découvrir plus ?

Le Palais Galliera : Un palais hors du commun

Le palais Galliera un palais pour le commun des mortels

Depuis son inauguration en 1895, le Palais Galliera a connu diversses affectations. Le 15 avril 1878, la duchesse de Galliera exprime son souhaite de laisser à l’Etat français sa collection d’œuvres d’art. Elle indique que cela ne pourra se faire qu’à une condition. Que sa collection soit exposée au public dans un musée spécialement construit à cet effet, qu’elle propose de financer sur un vaste terrain lui appartenant. Ses exigences sont claires : l’ensemble se compose d’un musée dénommé Brignole-Galliera entouré d’un square et, de chaque côté, sera percée une voie créant ainsi deux rues : la rue Maria Brignole et la rue De Galliera.

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Plan du Palais Galliera signé de la main de la duchesse, ©Archives de Paris.

Le 11 juillet 1878, le conseil municipal accepte la donation de la duchesse et le 31 octobre a lieu la ratification devant notaire de la proposition de donation en règle. La réalisation de ce projet occasionne malgré tout bien des déceptions. Au moment où le palais sort de terre, sa construction manque d’être interrompue à cause de l’alignement des bâtiments. Ce problème surmonté révèle une erreur majeure commise par le notaire : la notification du destinataire du don mentionnant la Ville de Paris au lieu de Etat français, comme la duchesse souhaitait. Ses tentatives pour rétablir l’attribution de sa donation restent vaines et le climat politique de la période ne lui convenant pas, elle prend la décision, le 7 octobre 1884, de léguer l’ensemble de sa collection au Palazzo Rosso à Gênes. La collection ne sera donc jamais exposée dans le palais.

La duchesse maintient tout de même les fonds nécessaires à l’achèvement du palais. Celui-ci sera cédé immédiatement à la Ville de Paris. Le décès de la duchesse de Galliera, le 9 décembre 1888, marque l’arrêt des travaux qui sont repris par l’architecte Paul-René-Léon Ginain jusqu’à l’achèvement de l’édifice le 27 février 1894. Mais nombreux sont ceux qui s’interrogent sur l’usage de cet élégant Palais dépourvu des collections qui lui étaient destinées. Le 19 décembre 1895, le sort du musée est fixé : il sera inauguré en tant que musée d’Art industriel. De nombreuses expositions d’arts décoratifs y sont organisées afin de combler le manque d’établissement public à destination des personnes désireuses de découvrir cette nouvelle forme d’art.

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Petit Salon, vers 1900, ©Petit Palais/Roger-Viollet.

En 1954, le Palais Galliera accueille annuellement dans ses salles d’expositions le Salon des peintres témoins de leur temps. À cette occasion, il est aménagé pour offrir une meilleure présentation des œuvres d’art. Les plus grands artistes contemporains du moment s’y rencontrent : Utrillo, Rouault, Matisse, Chagall, Buffet, Picasso ou encore Léger, Braque, Kisling, et Gromaire… Chaque année un thème est imposé, en rapport avec l’Homme et son environnement.

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Petit Salon, vers 1900, © Petit Palais/Roger-Viollet.

Outre le Salon, les salles du Palais Galliera sont le théâtre de ventes aux enchères à partir de 1960. La Compagnie des commissaires-priseurs de Paris, par contrat avec la Ville de Paris, utilise le palais pour une durée de 16 ans.

Une mode architecturale aux convergences classiques et industrielles

Construit par l’architecte Paul-René-Léon Ginain et implanté au cœur d’un jardin librement inspiré du palladianisme, le palais Galliera présente une esthétique très populaire au XIXe siècle : le « style Beaux — Arts », fréquemment employée pour la création d’établissements publics. D’un ensemble composite aux multiples références, l’inspiration Renaissance prédomine tant dans le traitement des baies — évoquant les baies serliennes chères à Palladio — que dans celui des façades sur cour et jardin. La façade sur l’avenue Pierre Ier de Serbie s’ouvre sur une cour d’honneur pavée et bordée d’un péristyle en hémicycle d’ordre ionique. La façade sur jardin est rythmée par trois baies en plein cintre alternant avec des colonnes adossées et baguées. Chaque baie est ornée d’une sculpture représentant les trois arts majeurs : la Peinture d’Henri Chapu, l’Architecture de Jules Thomas et la Sculpture de Pierre Cavelier. Le péristyle se prolonge de deux ailes, déployées de part et d’autre du bâtiment. Le tout surplombe deux escaliers menant aux terrasses qui précèdent le square. Chaque portique est composé comme suit : une sculpture dans la niche centrale et une seconde à son extrémité. Sous le portique Ouest, Protection et Avenir (1893) d’Honoré Icard, au centre, répondent Au soir de la vie (1906) de Gustave Michel. À l’Est, l’Effort (1890) d’Alfred Boucher et au centre le Jeune berger (1894) d’Alexandre Pezieux. En contrebas des portiques deux sculptures en bronze prennent placent sur les terrasses : à l’Est, le Faune jouant avec une panthère (1897) de Justin Becquet et à l’Ouest l’Enfance de Bacchus (1857) de Jean-Joseph Perraud.

Le Palais Galliera apparaît donc comme un parfait exemple du bâti de la fin du XIXe siècle alliant traditions architecturales et innovations techniques. Pour l’anecdote : sous les pierres de taille, une structure métallique soutient l’édifice. Elle a été réalisée par l’entreprise de Gustave Eiffel qui figure dans les permis de construire sous la mention : « Serrurerie et ferronnerie, Mr Eiffel entrepreneur ». Les rampes d’escalier, les baies vitrées et les grilles du square Brignole-Galliera sont issues des ateliers ayant produit la Tour Eiffel.

Mais qui a commandé ce joyau populaire ? La commanditrice Marie Brignole-Sale, Duchesse De Galliera, une politicienne au service du bien commun

Dans ce cadre, la commanditrice ne pouvait qu’être louée pour son action philanthropique. De son nom complet, Marie Brignole-Sale, duchesse de Galliera, naît à Gênes le 5 avril 1811 au sein d’une famille patricienne. La jeune femme épouse, en 1828, le marquis Raphaël De Ferrari. Il est issu, comme elle, d’une puissante famille génoise, créateur avec les frères Pereire de la banque Crédit Mobilier et participant à la construction du canal de Suez. La transformation de Paris initiée par le baron Haussmann lui permet de faire de nombreuses transactions immobilières et de grands bénéfices. Considérée comme une femme à l’âme charitable, la duchesse de Galliera mena une vie marquée par le goût des belles choses et l’altruisme.

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La duchesse de Galliera, tirage gélatino-argentique, ©Petit Palais/Roger-Viollet.

En 1837, le duc et la duchesse se porte acquéreur du domaine de Galliera. Érigé en duché le 14 mai 1813 par Napoléon Ier pour sa petite fille par adoption, Mademoiselle de Beauharnais, le titre réintègre les Etats de l’Église après 1815. Le pape Grégoire XVI le donne aux époux Ferrari en 1838. Dès lors Marie Brignole-Sale, marquise de Ferrari, décidera de se faire appeler exclusivement duchesse de Galliera. Ce parcours marqué par des acquisitions en Italie et en France et par un enrichissement constant s’arrête brusquement à la mort de Raphaël, le 22 novembre 1876, à Gênes. gée de 65 ans, veuve et rejetée par son fils, la duchesse se retrouve à la tête d’une immense fortune de 225 millions de francs-or qu’elle s’emploie dès lors à dépenser en œuvres de bienfaisance. Elle répond d’ailleurs à ses détracteurs : « Je suis de mon pays. En Italie, on aime beaucoup les palais, il y en a partout et j’en possède quelques-uns. N’est-il pas juste qu’en France, les pauvres aient les leurs ? » – Magasin pittoresque, 1889, p.32.

Débutée par ses aïeux dès 1623 — date à laquelle Van Dyck fit un portrait de la famille — la collection d’art de la duchesse est très prestigieuse et variée. Elle se compose de peintures flamandes, espagnoles et italiennes, de mobilier du XVIIIe français, des horloges et des productions issues des manufactures de Sèvre et des Gobelins… Les plus grands noms se retrouvent dans cette collection. Mais par son testament olographe du 7 octobre 1884, elle retire le legs de cette riche collection à la France au profit du Palazzo Rosso à Gênes. Elle choisit donc de déposséder Paris, sa ville de cœur, tout en maintenant la construction du palais Galliera. Dès son achèvement le palais sera cédé à la Ville de Paris. À l’âge de 77 ans, Marie Brignole-Sale, duchesse de Galliera s’éteint le 9 décembre 1888 à Paris.

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La duchesse de Galliera, ©Nadar.

La mode, un art populaire devenu noble

Une collection d’Art pour et par tous

Mais dans ce cadre, comment le palais Galliera deviendra-t-il un musée et surtout celui de la mode ? Tout commence à l’initiative de Maurice Leloir (1853-1940), peintre, historien et collectionneur, et la fondation en 1907 de la Société de l’Histoire du costume (SHC). Le 30 décembre 1920, la fondation fait un don à la Ville de Paris. Dans l’attente d’un lieu pour accueillir le futur musée municipal du costume, comme le souhaite la Société, la Ville dépose au musée Carnavalet le don. Près de 2000 pièces viennent enrichir le fonds existant, et dès lors, quelques salles sont consacrées à la présentation d’une petite partie des collections.

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Plaque de bronze circulaire à l’effigie de Maurice Leloir, Fondateur de la Société de l’Histoire du costume (SHC), ©Palais Galliera.

Après la Seconde Guerre mondiale, l’intérêt, toujours grandissant, pour le costume historique et le vêtement contemporain conforte Paris dans son rôle de capitale de la mode. Toutefois, il manque toujours à la ville ce musée du costume. Au début des années 1950, grâce à la Fondation Taylor, le musée sera installé dans les salons historiques du Cercle Volney. Immédiatement, la conservation du musée Carnavalet et la direction de la Société de l’Histoire du Costume choisissent parmi les collections les pièces les plus emblématiques. Cela afin d’éclairer le Conseil Municipal sur l’opportunité de la création définitive d’un musée du costume. En 1954 la création du musée est entérinée. Dès lors, quelques salles rénovées du rez-de-chaussée du musée Carnavalet seront réservées exclusivement à la présentation des collections.

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Maurice Leloir, portrait du fondateur de la SHC, ©Wikipédia.

En 1955, la sélection d’un nouvel emplacement se porte sur une grande salle au rez-de-chaussée du musée d’Art Moderne de la Ville de Paris. Considéré comme une annexe du musée Carnavalet, le musée du Costume y est inauguré le 23 novembre 1956. En raison d’un effondrement du plafond, le musée est contraint de fermer en 1971. Les collections réintègrent alors le musée Carnavalet pour un temps, avant que la Ville de Paris songe à leur installation définitive au Palais Galliera. L’intégration des collections du musée du costume ne prit effet qu’à l’expiration des engagements tenus pour des expositions temporaires et des ventes aux enchères qui s’y tiennent.

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Le musée d’art moderne de la Ville de Paris photographié par Bernard Plossu, 1945. Collection du MAMVP, ©Musée d’Art Moderne/Roger-Viollet.

Un art populaire pour un palais public

C’est en 1977 que le musée de la Mode et du Costume de la Ville de Paris s’installera à Galliera. Le musée hérite des collections et d’accessoires jusqu’alors conservés au musée Carnavalet et rejoint ainsi le réseau des musées de la Ville de Paris qui comptent alors 14 établissements. Ses réserves et ses ateliers de restauration sont placé au sein des sous-sols du musée.

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Cours du Palais Galliera, ©Palais Galliera.

Les années 1980 sont marquées par la création de deux départements : le cabinet des Arts graphiques en 1984, et le département de la création contemporaine en 1987. Le musée fait l’objet d’une campagne de travaux en 1986. Les bureaux de la conservation occupent l’étage, tandis que les salles d’expositions sont modifiées. Le décor de la grande galerie est remis en état et les voussures, ainsi que la verrière sont dégagées. La bibliothèque et le centre de documentation sont créés la même année et face à l’accroissement constant des collections, la Ville dote le musée d’un atelier de restauration et de réserves pour accueillir tout le fonds.

En 1994, un atelier de restauration et des réserves sont créés. Le musée dispose alors d’un véritable laboratoire de conservation pour les vêtements et accessoires, déployé alors sur 4 800 m2. En 1997, la dénomination du musée change pour la deuxième fois : le musée de la Mode et du Costume de la Ville de Paris devient le musée de la Mode de la Ville de Paris. En 2002, le musée Galliera remporte le label « Musée de France ». En 2009, la Préfecture ferme le musée pour cause d’irrespects des normes (électricité et sécurité incendie) et accessibilité. En 2010 a lieu la réhabilitation des salles d’exposition, la rénovation de la cour, des baies, des ailes et des sculptures, ainsi que les espaces privatifs. Ce retour aux sources s’accompagne d’un changement de nom et d’une nouvelle identité visuelle. Le musée Galliera devient le Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville Paris. En 2018, le Palais Galliera entame à nouveau des travaux et voit ses espaces doubler de superficie afin d’accueillir les collections permanentes.

En 2020, le musée rouvre avec une exposition monumentale consacrée à Gabrielle Chanel -« Gabrielle Chanel. Manifeste de mode »- et présente son premier parcours des collections du Palais Galliera. La nouvelle direction est à l’initiative d’expositions thématiques engagées qui résonnent avec les problématiques de société contemporaine : « Frida Kahlo, au-delà des apparences », « Une histoire de la mode au Palais Galliera » ou encore « La Mode en mouvement ».

Ce nouvel essor passe également par l’inclusion du Palais Galliera, depuis 1977, au réseau des musées de la Ville de Paris, dont la gestion est assurée par l’Établissement Public Paris Musées. Ce réseau des musées de la Ville de Paris compte aujourd’hui 14 établissements :

. Musée d’art moderne de la Ville de Paris
. Maison de Balzac
. Musée Bourdelle
. Musée Carnavalet — Histoire de Paris
. Les Catacombes
. Musée Cernuschi, musée des arts de l’Asie de la Ville de Paris
. Musée Cognacq-Jay, musée du XVIIIe siècle de la Ville de Paris
. Crypte archéologique du parvis Notre-Dame
. Palais Galliera, musée de la Mode de la Ville de Paris
. Musée du Général Leclerc de Hauteclocque et de la Libération de Paris — Musée Jean Moulin
. Petit Palais, Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris
. Maisons de Victor Hugo
. Musée de la Vie romantique
. Musée Zadkine

L’Établissement Public Paris Musées réunit ainsi les musées et les services mutualisés en charge de la gestion, de la production des expositions et des événements culturels, du suivi des collections et des éditions au sein de ce vaste réseau.

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Logo Paris Musées, ©Paris Musées.

Le Palais Galliera : Le luxe patrimonial qui fait rêver petit et grand

Enfin, comme depuis le début de son histoire, le Palais Galliera s’inscrit dans une démarche avant-gardiste. Et cette valeur, la Maison CHANEL a souhaité s’y associer, en qualité de mécène exclusif. CHANEL a donc contribué, avec la Ville de Paris, au financement des travaux de 2018. Le chantier a permis de transformer les caves voûtées du musée en salles d’exposition et de créer une deuxième circulation verticale avec un élégant escalier en béton blanc poli reliant les deux niveaux. Sculpté dans la masse, le bloc compact perce d’une simple incision le sol du rez-de-chaussée. Traité en béton blanc, il poursuit la minéralitée du rez-de-chaussée en reliant les deux niveaux existants du bâtiment afin de doubler la superficie. Ce nouvel escalier permet de relier avec modernité les deux architectures du palais : le rez-de-chaussée avec ses mosaïques et plafonds peints ; le rez-de-jardin avec ses voûtes en briques couleur terre cuite, ses soubassements et arcatures en pierre. Cet espace structure les deux niveaux de visite, en permettant un circuit de visite continu. Ce type de technicité ingénieuse n’est pas sans faire échos à celle utilisée par Eiffel dans la première phase de travaux du Palais.

Cette campagne de travaux démarre à l’automne 2018 et s’achève en juillet 2020. Elle concerne l’intégralité du sous-sol, les nouvelles salles sont baptisées « Salles Gabrielle Chanel ». Ces nouvelles galeries ont été ouvertes le 1er octobre 2020 au public. Les architectes ont profité du système constructif particulier du bâtiment et de ses fondations profondes pour créer un niveau technique sous le sous-sol existant, invisible pour le public. Les dispositifs installés permettent d’accueillir tous types de scénographie. L’enjeu majeur de la restructuration des caves était la mise en valeur du patrimoine existant, en dégageant les voûtes de tous les réseaux actuels. Un simple rail de serrurerie file en partie haute des arcs pour porter l’éclairage scénographique et les appareillages de sécurité. Afin d’apporter un confort acoustique aux visiteurs dans ces salles voûtées, les nouvelles parois sont traitées en panneaux bois microperforés et le sol est recouvert d’un parquet en liège noir de haute densité.

Grâce à ces travaux, le Palais Galliera peut désormais présenter, sur deux niveaux, des expositions temporaires de plus grande envergure, ou bien exposer sa collection permanente. L’offre de services est développée grâce à la création d’une librairie au rez-de-chaussée et d’un atelier dévolu aux activités pédagogiques et culturelles en rez-de-jardin. Le tout représente un atout majeur pour permettre au musée de rester dans la compétition du secteur de la médiation muséal de la capitale.

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Plan de coupe de la galerie courbe, © Sandra Courtine/CIEL architectes.

Dans la continuité de cet enjeu, le Palais se dote de deux autres atouts. Le premier, le centre de documentation et sa bibliothèque disposent d’une salle de lecture de 6 places réservées aux chercheurs (conservateurs, historiens de l’art, universitaires, étudiants, conférenciers, documentalistes).

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Collection de livres “Les grands magasins du Louvre Mode”, ©Palais Galliera.

Le second, c’est son charme. Depuis quelque temps, ce palais de la mode propose d’organiser des événements privés — cocktail, dîner de gala, défilé de mode, soirée de lancement, signature d’auteur, visite privée. Tout au long de l’année, les salons et galeries du Palais Galliera peuvent être mis à disposition, avec visite privée de l’exposition en cours. L’un des évènements qui ont fait sensation dernièrement fut la soirée privée de lancement de l’exposition « Frida Kahlo au-delà des apparences » organisée par Paris, Musées OFF et TRAX.

Alors si vous aussi vous aimez le glamour, la fête et la mode, et que vous souhaitez prolonger l’ambiance de la Fashion Week, n’hésitez plus, allez visiter ce fabuleux Palais Galliera !

Sources :

Palais Galliera Musée de la Mode de la Ville de Paris : www.palaisgalliera.paris.fr
Paris Musées : www.parismusees.paris.fr


Source photographie principale : Palais Galliera